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Sites web
La co-création de connaissances en agroécologie intéresse de nombreux acteurs. Autant de plateformes électroniques ont été mises en place.
Site web consacré aux innovations agricoles locales et aux actions du PROFEIS
Promoting Local Innovation in Ecologically-oriented Agriculture and Natural ressources (PROLINNOVA) est une ONG qui a initié une plateforme multi-acteur dans le but de promouvoir des processus d’innovation agroécologique. Outre le renforcement des capacités des acteurs, elle travaille sur les dynamiques de production de connaissances endogènes dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de la foresterie. PROLINNOVA partage des expériences et des techniques agroécologiques développées par les paysans, les organisations de producteurs et des chercheurs. Son site a une rubrique consacré au PROFEIS (Promoting Farmer Experimentation and Innovation in the Sahel), un programme de recherche-action sur les connaissances paysannes locales en matière d’agriculture.
Site web dédié au plaidoyer pour une agriculture endogène et durable
Le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement-Terre Solidaire (CCFD-Terre Solidaire) produit des analyses et des stratégies spécifiques qu’il publie sur son site pour défendre un modèle de développement fondé sur l’humain, sur un principe de justice dans la répartition des richesses, sur une gestion responsable des ressources naturelles, sur un principe de coopération et non de compétition. Le CCFD-Terre Solidaire est la première ONG de développement en France. Reconnue d’utilité publique en 1984, l’association a reçu en 1993 le label Grande Cause Nationale et a le statut de consultant auprès du Conseil économique et social des Nations Unies. Le CCFD-Terre Solidaire soutient des actions locales dans les pays du Sud, entre autres activités.
Site web dédié aux producteurs agricoles d’Afrique centrale
La PROPAC (Plateforme Sous-régionale des Organisations de Producteurs d’Afrique Centrale) veut une agriculture familiale entreprenante, modernisée et durable assurant les fonctions économique, sociale, culturelle et écologique pour la sécurité et la souveraineté alimentaires. Elle œuvre pour l’ harmonisation des stratégies et actions des organisations paysannes nationales d’Afrique centrale dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des politiques de développement agricole afin de faire prendre en compte leurs propositions dans les décisions visant une amélioration durable des conditions de vie des populations rurales. La PROPAC a réalisé une étude sur les techniques d’adaptation locale aux changements climatiques développées par les paysans du Bassin du Congo et du Tchad.
Site web dédié à la promotion de l’agroécologie
AGRECOL Afrique est une ONG sénégalaise créée en 2002 dont la mission est de renforcer la vision, la pratique et la promotion de l’agroécologie au Sénégal et en Afrique de l’Ouest. Elle a pour objectifs de contribuer au développement des connaissances, des pratiques et à l’échange d’expériences en matière d’agriculture biologique ainsi que de promouvoir l’économie sociale et solidaire. Elle publie des expériences d’agriculture locales.
Espace consacré par la FO au programme Champs-écoles
http://www.fao.org/senegal/actualites/detail-events/fr/c/358275/
Ce lien donne accès à des éléments du programme l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dénommé Champs-écoles. La FAO et ses partenaires ont opté, depuis plusieurs années, l’approche « Produire plus avec moins », un modèle de production agricole basé sur une intensification agricole durable, qui permet d’améliorer à la fois les revenus, l’environnement et la santé des producteurs et des communautés rurales. Les Champs-Ecoles de Producteurs (CEP) contribuent, dans ce sens, à doter des petits producteurs des connaissances et des aptitudes pour mettre en pratique cette approche et améliorer leurs conditions de vie. En Afrique, les Champs-écoles de producteurs ont donné ses résultats qu’on peut prendre connaissance à partir de ce lien ci-dessus.
Blog dédié au savoir-faire agroécologiques des paysans
http://www.changeonsdagriculture.fr/
Ce blog est créé et animé par l’agronome français Jacques Caplat, fervent promoteur du savoir et savoir-faire paysans. On y retrouve des articles sur l’agriculture durable. Jacques Caplat a exercé comme technicien de terrain au sein du Groupe d’Agriculture Biologique, puis à la Fédération National de l’Agriculture Biologique (France). M. Caplat est auteur de plusieurs ouvrages sur l’agroécologie.
Rubrique du Cirad consacré aux résultats de recherches sur l’agroécologie en Afrique
http://www.cirad.fr/nos-recherches/resultats-de-recherche
Un suivant ce lien du Centre Internationale de Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD), on a droit à des résultats des recherches effectuées par les chercheurs de cet organisme sur les pratiques agroécologiques en Afrique. Par exemple, on peut y lire « L’écologie territorial, un cadre de recherche prometteur ». En partenariat avec les pays du Sud, le CIRAD produit et transmet de nouvelles connaissances, pour accompagner leur développement agricole et contribuer au débat sur les grands enjeux mondiaux de l’agronomie.
Lien consacré à une charte agroécologique dans le Sahel
http://agrosol-sahel.org/nos-actions/la-charte-agro-ecologique/
Ce lien que l’on retrouve sur le site de l’ASPS (Agroécologie&Solidarité avec les Peuples du Sahel) donne accès à une Charte agroécologique élaborée sur la base de connaissances locales. Elle encourage plusieurs techniques découvertes en Afrique comme celle du zaï.
Lien sur les innovations agricoles et l’économie familiale en Afrique de l’Ouest
http://www.oecd.org/fr/csao/publications/39438252.pdf
Le Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (SCSAO) a publié, en 2005, un document de synthèse portant sur l’économie familiale et innovation agricole en Afrique de l’Ouest qu’on peut consulter à travers ce lien. Pour ce club, l’Afrique occidentale connaît depuis quelques décennies une croissance démographique et des dynamiques de transformation sans précédent. L’une des questions centrales qui a guidé ses travaux est la suivante : Comment et où vont vivre les quelque 430 millions d’habitants de l’Afrique de l’Ouest à l’horizon 2020, alors qu’ils sont environ 290 millions aujourd’hui ?