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Promouvoir la Résilience des Economies en Zones Semi-Arides : Programme de petites subventions pour les jeunes chercheurs
PRISE prévoit d’attribuer une dizaine de subventions, chacune de l’ordre de 3000 à 5000£. Les applications qui offrent une valeur exceptionnelle à PRISE pourraient être admissibles à un financement supplémentaire.
5 juin 2014
PRISE encourage vivement les candidatures de chercheurs de pays en voie de développement, ou associés à des institutions de recherche de pays en voie de développement.
Les candidats doivent remplir et soumettre par mail le formulaire ci-joint de demande du programme de petites subventions PRISE avant le 23 juin 2014 à Helen Mountfort, coordonnatrice du Consortium PRISE (h.mountfort@odi.org.uk).
Plus d’informations sur PRISE ODI
PRISE invite maintenant des chercheurs en début de carrière à soumettre une proposition succincte de projet de recherche qui réponde aux objectifs de la phase de création de PRISE et de ses priorités de recherche.
À PROPOS DE PRISE
Promouvoir la Résilience des Economies en Zones Semi-Arides (PRISE) est un projet de recherche multi-pays de cinq ans financé par le Centre de recherche en développement international (CRDI) du Canada et le Department for International Development (DFID) du Royaume-Uni.
PRISE mène des recherches et travaille avec les individus et les organisations à identifier les menaces et les opportunités que le changement climatique présente pour économies des régions semi-arides. PRISE veillera à ce que la société civile, les chefs d’entreprises, les collectivités et autorités locales et nationales aient une meilleure information sur les options de développement. L’initiative les soutiendra dans le choix des interventions et des investissements qui sont socialement équitables et plus résistants au changement climatique.
La recherche se concentre dans six pays africains et asiatiques : le Burkina Faso , le Sénégal , la Tanzanie, le Kenya, le Pakistan et le Tadjikistan. Le consortium se compose de l’Overseas Development Institute (Royaume-Uni), la London School of Economics (Royaume-Uni), l’Université de Dar es Salam (Tanzanie), le Sustainable Development Policy Institute (Pakistan), et Innovation, Environnement et Développement en Afrique (Sénégal).