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Atelier de formation sur le budget participatif à Toubab Dialao du 20 au 21 janvier 2010
Dans le cadre du programme réussir la décentralisation,IED Afrique avait initié depuis 2005 un programme d’appui à la mise en place du budget participatif au Sénégal et dans les autres pays de la sous région comme le Mali et Le Burkina Faso. Au Sénégal, l’expérience teste de ce programme a concerné les communautés Rurales de Fissel et de Ndiaganiao situées dans la Région de Thiès. Au burkina, quatre communes ont bénéficié de cet accompagnement Tandis que deux communes du Mali ont été initiées à la démarche.
Pour répondre aux demandes sans cesse croissantes des collectivités locales du Sénégal en matière de mise en place du processus du budget participatif, une session de formation sera organisée du 20 au 21 janvier 2010 à l’Hotel IRIS de Toubab Dialao.
15 janvier 2010
Cette session de formation concerne huit collectivités locales de diverse Régions du Sénégal :
Commune de Kanel (Région de Matam)
Commune d’Arrondissement des parcelles Assainies (Région de Dakar)
Commune de Popenguine (Région de Thiès)
Commune de Dieuppeul Derklé Castors (Région de Dakar)
Communauté Rurale de Sesséne (Région de Thiès)
Communauté Rurale de Ngoye (Région de Diourbel)
Communauté Rurrale de Ngohé (Région de diourbel)
Communauté Rurale de Warkhokh (Région de Louga)
L’intérêt ainsi manifesté par les collectivités locales dans la mise en place du budget participatif, réside dans les résultats encourageants observés à Fissel et Ndiaganiao et qui font aujourd’hui l’objet de partage au niveau de divers acteurs nationaux de la politique de décentralisation.
Il est important de noter que cette formation théorique regroupera aussi bien des élus que des membres de la société civile locale. IED Afrique envisage d’aider ces collectivité locales à pérenniser la démarche participative d’élaboration et de gestion du budget au delà de la personne de élus qui peuvent au gré des législatures cesser leurs fonctions, de ce fait, les membres de la société civile constituent un gage de durabilité du système. En effet, ces derniers pourraient continuer de porter le processus au sein des communautés qui sont finalement les bénéficiaires de toutes les actions que nous menons.