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Sites web et liens
Lien utiles sur le sujet.
Lien donnant accès aux résultats obtenus par Enda Pronat sur l’agroécologie au Sénégal
http://www.endapronat.org/images/fiches%20aeb%20recherches%20paysannes.compressed.pdf
Enda Pronat a réalisé plusieurs documents de capitalisation sur différentes expériences sur l’agroécologie. Elles sont présentées sous forme de « fiches de capitalisation sur l’agriculture écologique et biologique au Sénégal ».
Lien sur les travaux probants relatifs aux capacités de l’agriculture familiale
http://www.fongs.sn/IMG/pdf/fiche_2.pdf
L’organisation Fongs a mis en place un cadre de suivi des exploitations
familiales. Les résultats ont été partagés à plusieurs occasions. Cette fiche intitulée« les exploitations familiales pourraient mieux nourrir le Sénégal si elles améliorent leur maîtrise de l’espace et des ressources naturelles » renseigne sur les enjeux de la sécurité foncière, la gestion durable des ressources agricoles, forestières, pastorales, halieutiques en misant essentiellement sur les exploitations familiales, la fertilité des sols, etc.
Plateforme d’échange pour la mise en pratique de l’agroécologie
http://www.osez-agroecologie.org
Convaincu du rôle que doit jouer l’agroécologie dans les transitions agricoles, alimentaires et énergétiques, Solagro a constitué une équipe pluridisciplinaire pour Osaé. Créée en 1981, Solagro est une entreprise associative visant à ouvrir d’autres voies pour l’énergie et l’agriculture, pour une gestion économe, solidaire et de long terme des ressources naturelles.
Présentation d’un livre sur l’ « agriculture naturelle »
http://www.unitheque.com/Livre/france_agricole/Agri_production/Traite_d_agroecologie-55633.html
Dans cet ouvrage, il nous donne d’abord sa vision de la « responsabilité » de l’agriculteur puis résume les principes agronomiques de base auxquels il est attaché et les techniques culturales qui en découlent. Après s’être attardé sur la culture du blé et celle des plantes énergétiques, il n’oublie pas le petit domaine de l’amateur.
Il poursuit par une étude sans concessions sur la capacité nourricière, à l’échelle nationale puis planétaire des techniques qu’il préconise. Il termine par une réflexion sur nos modes de vie et leurs implications sur la nature et l’agriculture.
Lien sur un projet de recherche sur un mode de gestion des sols alternatif
L’objectif du projet est de tester des modes de gestion des sols alternatifs permettant de limiter les risques liés à l’usage massif d’intrants organiques ou minéraux. Les activités concernent une évaluation des contaminations abiotiques ou biotiques du système
sol-plante (ETM, microorganismes pathogènes) liés à des pratiques intensives identifiées sur quatre agrosystèmes ; des innovations seront testées pour limiter ces risques potentiels. Les résultats attendus sont d’évaluer des risques potentiels de pollution, de proposer des pratiques alternatives face à ces risques, d’élaborer des indicateurs de leur suivi, d’assurer la formation d’étudiants et d’acteurs impliqués. Ce projet contribuera à réduire la vulnérabilité des petits producteurs agricoles pauvres. Il permettra également un meilleur accès des femmes et des jeunes aux technologies de gestion durables des terres.
Lien sur une discussion sur la « banane agroécologique »
http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/communiques-de-presse/2016/promusa-ishs-2016
Du 10 au 14 octobre 2016, s’est tenu à Montpellier le Xème symposium
international sur la banane, Promusa-ISHS 2016. Co-organisé par le Cirad, le groupe Promusa de Bioversity International et la Société internationale des Sciences Horticoles, cet événement rassemblera plus d’une centaine d’experts qui échangeront sur la façon de concilier agroécologie et production bananière. Originaire d’Asie du Sud-Est et domestiquée depuis plusieurs milliers d’années, la banane, dont on connaît plus de 1 000 variétés, a progressivement colonisé plusieurs continents, au gré des migrations
humaines. Cultivé dans plus de 150 pays, ce fruit singulier, dépourvu de graines et produit par une herbe géante, est aujourd’hui la quatrième culture alimentaire au monde, après le riz, le blé et le maïs. Majoritairement consommée localement, la banane joue un rôle majeur dans la sécurité alimentaire des pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie.
Si sa production annuelle, estimée à 134 millions de tonnes, recouvre une très grande diversité de variétés et d’usages, la banane « dessert » représente à elle seule près de 60 % du volume produit. En outre, près de 100 % du marché international concerne le groupe variétal Cavendish (soit environ 18 millions de tonnes).